
Wesley Snipes
Wesley Snipes, né le 31 juillet 1962 à Orlando, en Floride (États-Unis), est un acteur et producteur américain.
Il commence sa carrière audiovisuelle dans le clip de la chanson Bad de Michael Jackson, réalisé par Martin Scorsese en 1987. Longtemps second rôle de luxe, il gagne en notoriété au début des années 1990 avec des films comme The King of New York, Mo’ Better Blues, Jungle Fever et New Jack City, puis enchaine avec des films à succès comme Passager 57, L’Extrême Limite, Money Train, Les blancs ne savent pas sauter, U.S. Marshals, Meurtre à la Maison Blanche, Drop Zone, Un seul deviendra invincible et Demolition Man, avant de franchir encore une étape dans sa carrière en 1998 grâce au rôle de tueur de vampires de la saga Blade.
Il est ainsi considéré lors de cette décennie 1990 comme un spécialiste des films d’action, dans lesquels il peut d’ailleurs faire démonstration de ses aptitudes physiques et de sa maîtrise des arts martiaux : il est en effet 5e dan de karaté shotokan et 2e dan de hapkido. Toutefois, il a su aussi se distinguer dans des thrillers, comédies ou drames, donnant par exemple la réplique à Robert De Niro dans Le Fan ou à Sean Connery dans Soleil levant.
Dès 1991, il fonde sa propre société de production indépendante, Amen Ra Films, qui coproduit ensuite la série des Blade. Sa carrière commence à connaître un revers après le début des années 2000, une période où on ne le voit apparaître qu’à deux occasions sur les écrans de cinéma américain pour Blade II en 2002 et Blade: Trinity en 2004. Il s’appuie en effet sur sa société de production pour se consacrer entièrement à la production de films destinés directement au marché de la vidéo. En 2010, il est condamné pour fraude fiscale et incarcéré le 9 décembre pour une durée de trois ans. Il est sorti de prison le 6 avril 2013[1]. En 2014, il joue dans le film d’action Expendables 3.
Biographie
Les débuts
Né à Orlando en Floride, sa famille déménage ensuite alors qu’il est enfant dans le sud du Bronx, où il entre dans le lycée des arts d’interprétation Fiorello H. LaGuardia. À sa grande déception, sa mère décide de ramener la famille à Orlando où il doit terminer l’école secondaire, créant cependant avec des amis le Struttin’ Street Stuff, une compagnie ambulante de marionnettistes qui se produit dans des parcs et des écoles. En 1980, il termine le lycée et décide de revenir à New York pour poursuivre ses études dans la State University of New York à Purchase. Il y reçoit en 1985 un diplôme de Bachelor of Fine Arts et obtient ensuite plusieurs rôles dans des comédies musicales à Broadway.
Carrière d’acteur
En 1985, vivant alors de petits boulots, il auditionne pour le film Wildcats de Warner Bros, avec Goldie Hawn, et arrive à y obtenir un rôle.
Il enchaîne en apparaissant dans la version longue du clip Bad en tant que chef du gang rival de celui de Michael Jackson puis dans le film Streets of Gold où il est remarqué par Spike Lee. Il renonce cependant au rôle que celui-ci lui propose dans Do the Right Thing pour préférer un rôle plus important dans Major League suivi par plusieurs succès au box-office. Le rendez-vous avec Lee n’est cependant que reporté, Snipes se rattrapant ensuite en tenant le rôle du saxophoniste de jazz Shadow Handerson dans Mo’ Better Blues puis le rôle principal du drame romantique Jungle Fever.
Bien qu’apparaissant dans de nombreux films d’actions, il fait aussi dans la comédie avec Les blancs ne savent pas sauter, le drame The Waterdance, et ose même apparaître en drag queen aux côtés de Patrick Swayze et John Leguizamo dans le film de 1995 Extravagances. En 1997, il joue aussi dans le drame érotiquo-romantique Pour une nuit de Mike Figgis aux côtés de Nastassja Kinski, Kyle MacLachlan, Ming-Na Wen et Robert Downey Jr.. Sa performance dans ce film lui vaut la Coupe Volpi de la meilleure interprétation masculine à la Mostra de Venise. C’est à ce jour, sa seule récompense cinématographique.
1998 est un sommet dans sa carrière avec la sortie de Blade qui rapporte plus de 150 millions de dollars de recette. Il obtient alors son étoile sur le Hollywood Walk of Fame, et un doctorat honorifique décerné par son ancienne université Purchase.
En tant que producteur, il s’engage en produisant à travers sa société Black Dot Media, filiale spécialisée de Amen Ra Films, des documentaires sur des intellectuels africains et afro-caraïbéens ; le premier consacré à John Henrik Clarke est acclamé par le festival de Sundance et reçoit le grand prix du Urbanworld Film Festival de New York. Le résultat financier n’est cependant pas à la hauteur car Black Dot Media est assez rapidement arrêté.
En produisant pour le câble un documentaire sur les arts martiaux au vingtième siècle, The First Tribute to the Martial Arts Masters of the 20th Century, il y trouve un bien meilleur succès populaire.
En 2010, il est condamné pour fraude fiscale et incarcéré le 9 décembre pour une durée de trois ans.
Entre 2010 et 2011[précision nécessaire], il a annoncé qu’après avoir purgé sa peine, il souhaite renouer aussitôt avec le cinéma. Il est recruté par Stallone pour le rôle de « Doc » dans Expendables 3, qui sort en 2014. Au Comic-Con de San Diego en 2015, Wesley Snipes évoque la possibilité d’un 4e long métrage de la franchise Blade[2],[3],[4].
Depuis 2005, lors de la sortie de Tekken 5, Raven, un personnage du jeu est inspiré de l’acteur notamment sa coiffure dans Demolition Man, il sort son gimmick « I’ll see you in hell » (Rendez-vous en enfer) du même film. Sa tenue est inspirée du personnage principal du film homonyme Blade.
Après sa sortie de prison pour fraude fiscale, Wesley Snipes fait son retour au cinéma en 2014 avec un second rôle, celui de Casanova « Caz » Phillips dans Brooklyn’s Finest. La même année, il apparaît dans la suite The Expendables 3. Son jeu de rôle comique en tant que D’Urville Martin dans Dolemite Is My Name lui vaut des critiques très positives[5],[6].
Problèmes judiciaires
Avec sa femme Nakyung « Nikki » Park à la Mostra de Venise 2009.
En 2004, le chanteur Christopher Williams, que la rumeur accuse d’avoir provoqué la surdité d’une oreille de Halle Berry en la frappant, affirme qu’en fait le vrai coupable serait Wesley Snipes. Aucune confirmation ni infirmation n’est venue, et Halle Berry refuse toujours d’identifier le responsable de sa surdité[7].
Fausse accusation de paternité
Toujours en 2004, il est accusé d’être le père d’un enfant qui aurait été conçu lors d’une visite dans une maison de passe en 2000[7]. Snipes nie et refuse de se soumettre à un test de paternité. L’accusation a fini par s’écrouler lorsqu’il s’est avéré que le tribunal n’avait pas pris en compte le manque de crédibilité des déclarations de l’accusatrice qui relèvent manifestement d’une fabulation pathologique.
Faux passeport sud-africain
En 2005, il est détenu à l’aéroport international de Johannesburg pour avoir présenté un faux passeport sud-africain aux autorités douanières. Il déclare alors avoir obtenu ce document à travers un avocat américain et être prêt à coopérer avec les autorités pour éclaircir l’affaire. Il est finalement libéré et autorisé à revenir aux États-Unis avec son vrai passeport américain, en étant juste noté indésirable aux frontières sud-africaines. L’affaire déclenche une petite polémique en Afrique du Sud sur les raisons pour lesquelles il a été relâché aussi facilement, à savoir si le document ne serait pas un « vrai-faux » et si l’affaire n’a pas été enterrée pour protéger les autorités responsables. Par la suite, le département de l’intérieur sud-africain déclare dans un communiqué que cette procédure est normale[8].
Fiscalité
En octobre 2006, un mandat est lancé contre lui à la suite d’une plainte pour fraude fiscale déposée par le fisc américain, l’Internal Revenue Service. L’IRS l’accuse d’avoir déposé de fausses déclarations pour obtenir 4 millions de dollars de remboursement en 1996, puis 7,3 millions en 1997, et de ne pas avoir déclaré ses impôts pour les années 1999 à 2004. Cumulés, les divers chefs d’accusation de l’IRS pourraient lui valoir 16 années de prison, en plus d’amendes considérables.
L’accusation porte également contre son conseiller fiscal, Douglas P. Rosile, Sr. L’IRS lui avait déjà interdit en 2002 toute activité dans le conseil fiscal, à la suite de la découverte de fausses déclarations concernant 174 de ses clients dans 34 États, pour un montant total supérieur à 29 millions de dollars.
L’IRS accuse en particulier Snipes de s’être adressé à des conseillers fiscaux déjà connus pour de fausses déclarations, concluant un accord avec la firme American Rights Litigators où 20 % des sommes économisées devaient leur être reversées.
L’acteur est alors en tournage en Namibie, où il n’existe aucun accord d’extradition avec les États-Unis. Il revient aux États-Unis le 8 décembre 2006 par un vol privé atterrissant à l’aéroport d’Orlando et se rend aux autorités. Il plaide alors non coupable et obtient sa libération contre le paiement d’une caution d’un million de dollars. Bien que son procès soit prévu pour le 5 mars 2007, la Cour l’autorise à retourner en Afrique pour y terminer le tournage.
Sur cette affaire, il se déclare victime d’un acharnement injuste des procureurs et des services fiscaux.
Il a été condamné en avril 2008 par la justice de Floride à trois années de prison ferme pour fraude fiscale s’élevant à 38 millions de dollars[9], jugement dont il a fait appel. Le 16 juillet 2010, ce jugement est confirmé par la cour d’appel américaine, il est écroué le jeudi 9 décembre 2010 et libéré le 6 avril 2013.
Filmographie
Icône signalant une information Sauf indication contraire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données cinématographiques IMDb, présente dans la section « Liens externes ».
Acteur
Cinéma
Wesley Snipes en août 2014, à l’avant-première française de Expendables 3.
Années 1980
1986 : Femme de choc (Wildcats) de Michael Ritchie : Trumaine
1986 : Les Chemins de la gloire (Streets of Gold) de Joe Roth : Roland Jenkins
1987 : Toubib malgré lui (Critical Condition) : de Michael Apted : l’ambulancier
1989 : Les Indians (Major League) de David S. Ward : Willie Mays Hayes
Années 1990
1990 : The King of New York (King of New York) d’Abel Ferrara : Thomas Flanigan
1990 : Mo’ Better Blues de Spike Lee : Shadow Henderson
1991 : New Jack City de Mario Van Peebles : Nino Brown
1991 : Jungle Fever de Spike Lee : Flipper Purify
1992 : The Waterdance de Neal Jimenez et Michael Steinberg : Raymond Hill
1992 : Les blancs ne savent pas sauter (White Men Can’t Jump) de Ron Shelton : Sidney Deane
1992 : Passager 57 (Passenger 57) de Kevin Hooks : John Cutter
1993 : L’Extrême Limite (Boiling Point) de James B. Harris : Jimmy Mercer
1993 : Soleil levant (Rising Sun) de Philip Kaufman : le lieutenant Webster Smith
1993 : Demolition Man de Marco Brambilla : Simon Phoenix
1994 : Revocator (en) (Sugar Hill) de Leon Isacho (en) : Roemello Skuggs
1994 : Drop Zone de John Badham : Pete Nessip
1995 : Extravagances (To Wong Foo Thanks for Everything, Julie Newmar) de Beeban Kidron : Noxeema
1995 : Money Train de Joseph Ruben : John
1995 : Où sont les hommes ? (Waiting to Exhale) de Forest Whitaker : James Wheeler (non crédité)
1996 : Le Fan (The Fan) de Tony Scott : Bobby Rayburn
1997 : Meurtre à la Maison-Blanche (Murder at 1600) de Dwight H. Little : l’inspecteur Harlan Regis
1997 : Pour une nuit… (One Night Stand) de Mike Figgis : Max Carlyle
1998 : U.S. Marshals de Stuart Baird : Sheridan
1998 : Loin d’ici (Down in the Delta) de Maya Angelou : Will Sinclair
1998 : Future Sport (Future Sport) de Ernest Dickerson : Obike Fixx
1998 : Blade de Stephen Norrington : Blade (également chorégraphe des combats)
1999 : Les Adversaires (Play It to the Bone) de Ron Shelton : un fan près du ring
Années 2000
2000 : L’Art de la guerre (The Art of War) de Christian Duguay : Neil Shaw
2002 : Appel au meurtre (Liberty Stands Still) (DTV) de Kari Skogland : Joe
2002 : The Robbery (Zig Zag) de David S. Goyer : Dave Fletcher
2002 : Blade 2 (Blade II) de Guillermo del Toro : Blade (également chorégraphe des combats)
2002 : Un seul deviendra invincible (Undisputed) de Walter Hill : Monroe Hutchen
2004 : Blade: Trinity de David S. Goyer : Blade
2004 : Indestructible (Unstoppable) (DTV) de David Carson : Dean Cage
2005 : 7 secondes (7 Seconds) (DTV) de Simon Fellows : Jack Tuliver
2005 : Nuclear Target (The Marksman) (DTV) de Marcus Adams : Painter
2006 : Chaos de Tony Giglio : Lorenz / Jason York
2006 : The Detonator (DTV) de Po-Chih Leong : Sonni Griffith
2006 : Hard Luck (DTV) de Mario Van Peebles : Lucky
2007 : The Contractor (DTV) de Josef Rusnak : James Dial
2008 : L’Art de la guerre 2 (The Art of War II: The Betrayal) (DTV) de Josef Rusnak : Neil Shaw
2009 : L’Élite de Brooklyn (Brooklyn’s Finest) d’Antoine Fuqua : Caz
Années 2010
2010 : Game of Death (en) (DTV) de Giorgio Serafini : Marcus
2012 : Gallow Walkers (Gallowwalkers) (DTV) d’Andrew Goth : Aman
2014 : Expendables 3 (The Expendables 3) de Patrick Hughes : Doc
2015 : Chi-Raq de Spike Lee : Sean « Cyclops » Andrews
2017 : The Recall (DTV) de Mauro Borrelli : le chasseur
2017 : Riposte armée (DTV) de John Stockwell : Isaac
2019 : Dolemite Is My Name de Craig Brewer : D’Urville Martin
Années 2020
2020 : Cut Throat City de RZA : Lawrence
2021 : Un prince à New York 2 de Craig Brewer : le général Izzi
2023 : Back on the Strip de Chris Spencer : Luther
2024 : Deadpool et Wolverine (Deadpool and Wolverine) de Shawn Levy : Eric Brooks / Blade
Télévision
La Force du destin (All My Children) – 1 épisode : Marty
1986 : Deux Flics à Miami – saison 3, épisode 10 : Silk
1988 : Vietnam War Story – 1 épisode : Bookman
1989 : A Man Called Hawk – 2 épisodes : Nicholas Murdock
1989 : The Days and Nights of Molly Dodd – 1 épisode : Hood
1998 : Futuresport d’Ernest R. Dickerson : Obike Fixx (sorti en vidéo dans certains pays)
1990 : H.E.L.P. (en) – 6 épisodes : Lou Barton
1996 : America’s Dream – segment The Boy Who Painted Christ Black de Paris Barclay, Bill Duke et Kevin Rodney Sullivan : George Du Vaul
1997 : Happily Ever After: Fairy Tales for Every Child – 1 épisode : The Pied Piper (voix)
2000 : Act of Love (Disappearing Acts) de Gina Prince-Bythewood : Franklin Swift
2003 : The Bernie Mac Show – 1 épisode : Duke
2015 : The Player – 9 épisodes : M. Johnson
2021 : La Réalité en face (Netflix) : Carlton
Clip
1987 : Bad de Michael Jackson, réalisé par Martin Scorsese
Jeux vidéo
1994 : Demolition Man : Simon Phoenix (voix)
2011 : Julius Styles: The International : Julius Styles (voix)
Producteur / producteur délégué
1996 : John Henrik Clarke: A Great and Mighty Walk (documentaire) de St. Clair Bourne
1998 : Big Hit (The Big Hit) de Kirk Wong
1998 : Loin d’ici (Down in the Delta) de Maya Angelou
1996 : Masters of the Martial Arts Presented by Wesley Snipes (documentaire) de Joe Perota et Michael Williams
1998 : Blade de Stephen Norrington
1998 : Futuresport (TV) d’Ernest R. Dickerson
2000 : L’Art de la guerre (The Art of War) de Christian Duguay
2000 : Act of Love (Disappearing Acts) (TV) de Gina Prince-Bythewood
2001 : Dr. Ben (documentaire) de St. Clair Bourne
2002 : Blade 2 (Blade II) de Guillermo del Toro
2002 : Un seul deviendra invincible (Undisputed) de Walter Hill
2004 : Blade: Trinity de David S. Goyer
2012 : Revelations of the Mayans: 2012 and Beyond (documentaire)
2017 : The Recall de Mauro Borrelli
2017 : Riposte armée de John Stockwell
Distinctions
Récompenses
WorldFest Houston 1992 : Lauréat du Prix Spécial du Jury du meilleur acteur pour The Waterdance
NAACP Image Awards 1993 : meilleur acteur principal pour New Jack City
NAACP Image Awards 1997 : meilleur acteur principal dans une mini-série où un téléfilm pour America’s Dream
Mostra de Venise 1997 : Coupe Volpi de la meilleure interprétation masculine pour Pour une nuit…
Blockbuster Entertainment Awards 1999 : acteur préféré pour Blade
Black Reel Awards 2011 : meilleur acteur pour L’Élite de Brooklyn
Screen Nation Awards 2016 : meilleure contribution au monde du cinéma et la télévision
Black Reel Awards 2019 : meilleur acteur pour Dolemite Is My Name
San Diego Film Critics Society Awards 2019 : meilleure performance comique pour Dolemite Is My Name
Nominations
MTV Movie + TV Awards 1992 : meilleur vilain pour New Jack City
MTV Movie + TV Awards 1993 : meilleur baiser partagé avec Woody Harrelson, meilleur duo partagé avec Woody Harrelson pour Les blancs ne savent pas sauter
Film Independent Spirit Awards 1993 : meilleur acteur dans un second rôle pour The Waterdance
MTV Movie + TV Awards 1994 : meilleur vilain pour Demolition Man
The Stinkers Bad Movie Awards 1998 : pire acteur pour Blade
MTV Movie + TV Awards 1999 meilleur combat pour Blade
Blockbuster Entertainment Awards 1999 : duo préféré partagé avec Tommy Lee Jonespour US Marshals
Fangoria Chainsaw Awards 1999 : meilleur acteur pour Blade
All Def Movie Awards 2016 : meilleur Bad Mu#&a pour New Jack City
Detroit Film Critics Society Awards 2019 : meilleur acteur dans un second rôle pour Dolemite Is My Name
Indiana Film Journalists Association Awards 2019 : meilleur acteur dans un second rôle pour Dolemite Is My Name
San Diego Film Critics Society Awards 2019 : meilleur acteur dans un second rôle pour Dolemite Is My Name
St. Louis Film Critics Association Awards 2019 : meilleur acteur dans un second rôle pour Dolemite Is My Name
Voix francophones
En France, Thierry Desroses[10] est la voix française régulière de Wesley Snipes. Jacques Martial l’a également doublé à six reprises.
Au Québec, Jean-Luc Montminy est la voix québécoise régulière de l’acteur[11].
[afficher]
Liste des voix françaises de Wesley Snipes
Notes et références
(en) Wesley Snipes sort de prison le 6 avril 2013, Associated Press, ABC News, wesley-snipes-leaves-pa-prison-tax-sentence [archive].
(en) [vidéo] « The Player: Wesley Snipes, Philip Winchester Interview – Comic-Con 2015 [archive] », sur YouTube
(en) [vidéo] « Snipes « In Talks » With Marvel About Blade Reboot – IGN News [archive] », sur YouTube
(en) Rachel Gebreyes, « Wesley Snipes Says ‘There’s Possibility’ For Another ‘Blade’ Film [archive] », Huffington Post, 22 septembre 2015
(en-US) Facebook et Twitter, « Wesley Snipes breaks out in ‘Dolemite’ as a working actor turned blaxploitation director [archive] », sur Los Angeles Times, 19 décembre 2019 (consulté le 29 mai 2021)
(en-US) « Wesley Snipes scored the biggest laughs in Dolemite Is My Name [archive] », sur The A.V. Club (consulté le 29 mai 2021)
: Wesley Snipes condamné à trois ans de prison ferme [archive]
home-affairs.pwv.gov.za [archive]
Actualité sur Allociné [archive]
« Comédiens ayant doublé Wesley Snipes en France » [archive] sur RS Doublage, le 26 mai 2015, m-à-j le 1er avril 2016.
« Comédiens ayant doublé Wesley Snipes au Québec » [archive] sur Doublage.qc
Carton du doublage français télévisuel.
Liens externes
Sur les autres projets Wikimedia :
Wesley Snipes, sur Wikimedia Commons
Ressources relatives à l’audiovisuel : AfriculturesAllMovieAllocinéAmerican Film InstituteFilmportalFilmweb.plIMDbRotten Tomatoes
Ressources relatives à la musique : DiscogsMusicBrainzMuziekweb
Ressource relative à la littérature : Internet Speculative Fiction Database
Ressource relative au spectacle : Internet Broadway Database
Ressource relative à la bande dessinée : Comic Vine
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : Britannica [archive]Den Store Danske Encyklopædi [archive]Deutsche Biographie [archive]Nationalencyklopedin [archive]Munzinger [archive]Store norske leksikon [archive]
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